Comprendre en une page la nécessité de penser la société dans sa globalité

Depuis les premiers groupements humains jusqu’à nos jours, les sociétés humaines ont connu des fonctionnements totalement différents. Les cultures qui en ont découlé ont façonné des humains aux comportements, à la morale, à la qualité de vie et aux certitudes toutes différentes également. Trois questions émergent alors :

Quels sont les facteurs responsables de tels changements ?

Pas des facteurs contemporains comme la globalisation, le développement du secteur tertiaire ou le libre marché, mais des facteurs expliquant les mutations sociétales à toute époque de l’histoire, dont ceux que nous venons de citer ? Des facteurs fondamentaux. Car il faut une pensée intemporelle qui permette de répondre, aujourd’hui comme demain, aux grandes questions de la société.
Déterminer ces facteurs permet de comprendre ce qui nous a amenés d’hier à aujourd’hui, pour mieux envisager demain sans avoir à le subir.

Par le passé, de nombreux phénomènes ont été jugés utopiques mais se sont produits dans le présent. (abolition de l’esclavage, suffrage universel, mariage homosexuel…) Connaître ces facteurs fondamentaux de changement permet de juger plus finement ce qui pourra ou ne pourra pas émerger à l’avenir, en évitant de tomber dans des affirmations sans autre fondement que les biais de notre époque.

Cela permet de comprendre que si l’histoire se répète ou que les civilisations se font et se défont, c’est probablement que toutes les luttes que nous menons ont une origine commune qui n’a jamais été adressée, et là est notre occasion d’enfin y remédier.

Qu'est-ce qu'une société optimale, parmi les meilleures possibles ?

Pour penser une telle société, aidés de la connaissance de ces facteurs fondamentaux de changement, il faut théoriser un environnement qui, par l’organisation de ses villes, de ses transports, de ses mœurs ou de son organisation technique, répond à un objectif simple mais ambitieux : Convenir « au mieux » aux humains qui y vivront.

Et dans tout un tas de sous-secteurs sociétaux considérés (économie, agriculture, vie citoyenne, éducation…), les sociétés de l’histoire ont pu, ou non, convenir à ce qui est « fait pour l’humain ». Pouvoir répondre à cette question, à l’échelle de la société entière ou de chaque sous-système, c’est savoir à chaque période de l’histoire ce qu’il faut conserver et ce qu’il faut changer, pour parvenir à un optimum.

Et enfin, comment migrer vers une société optimale ?

Les réponses aux deux questions précédentes permettront de dessiner un chemin pour l’avenir. Si l’on sait fondamentalement ce qui fait changer les sociétés et que l’on sait vers quel modèle de société tendre, on connait les grandes lignes des actions à mener.

Et pour quitter le fondamental et les grandes lignes pour entrer dans le spécifique et le concret, votre aide sera capitale, car nous ne dessinons ici que les fondations. Ce qui va en dépendre, et qui rentrera de plus en plus dans les détails, nécessitera l’intervention de personnes expertes dans de multiples domaines.

Nous pouvons simplement vous assurer une chose : si un tel rassemblement des luttes a lieu, nous assisterons probablement à la plus grande révolution de l’histoire : celle qui permettra, enfin, de penser les sociétés de tous temps.

Envie de passer à la version longue ?

Envie d'accéder à tous les détails ?